15 avril Aujourd’hui je ne sais pas.

Par quel bout prendre les choses. Le retard que j’accumule dans mon travail taquine l’Everest. Essentiellement sur les tâches de gestion du CDI mais encore.

Aujourd’hui, une collègue m’a dit qu’il fallait que j’en fasse moins. Alors qu’on était dans une séance programmée de justesse et que j’avais accepté, 10 minutes plus tôt, de poursuivre le travail initié aujourd’hui au retour des vacances.

Je ne sais qu’en faire toujours plus.

Aujourd’hui aussi, une autre collègue m’a dit qu’elle avait admis que son fonctionnement était d’avoir toujours le cerveau farci et des urgences plein la tête. « J’ai peur du vide ». Échos, échos…

Ce que je peux retirer, c’est également ce qui me fait le plus vibrer…

Aujourd’hui, Celuiquim’accompagne est rentré de chez le médecin avec un diagnostic de burn out. Mais on n’a pas pu en parler : il est allé se coucher. Je ne sais pas s’il entend enfin des termes que je promène sous son nez depuis… Des mois qui tendent à faire des années…

Si je m’arrête, est-ce que je m’effondre ?

Turn to jabber !

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.